date ?, Paris
... Sunny, merveilleuse jument !
Je te voyais chaque fois que je touchais mon portable, des dizaines de fois par jour sans doute, depuis... je ne sais plus. Deux ans, trois ans, quatre peut-être ? Et longtemps encore après t'avoir quittée. Mais que sais-tu, toi, de la pensée lointaine d'un humain pour qui tu étais une préférée ?
Ne tique pas, ma belle, ne te blase pas, dans la suite de ton chemin de cheval de rame vers la maturité. Je sais que je rêve. Toi tu ne sais rien. Je ne t'oublierai jamais. * * *
tR.